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A l’heure du 50ième anniversaire de l’implantation de Henkel en France, LSA et Henkel publient aujourd’hui les résultats d’une étude inédite sur l’innovation vue par la grande distribution. Menée en partenariat avec LSA, le magazine leader de la grande consommation, du 4 au 29 septembre auprès de 204 décideurs de la grande distribution, elle permet de mieux comprendre la manière dont l’innovation est perçue par les professionnels du « retail ».
« Face à un consommateur en quête de sens et aux opportunités du numérique, il est clé pour nous de bien comprendre les enjeux auxquels les distributeurs sont aujourd’hui confrontés » explique Amélie Vidal-Simi, Présidente de Henkel France. « Cette étude sur l’innovation souligne clairement le rôle du développement durable et des services, confortant ainsi notre engagement dans ces domaines au cœur de la stratégie 2020+ de Henkel».
Selon l’étude LSA-Henkel, les professionnels de la grande distribution considèrent à 53% qu’au cours de l’année 2017, l’innovation a augmenté. Les innovations les plus impactantes de 2017 dans le secteur du retail ont d’abord concerné les modes de distribution (multicanalité, opportunités nées du numériques) pour 27% des répondants, suivis par les innovations dans les services (14%) et celles liées au développement durable (14%) et à la santé (11%).
L’étude publiée aujourd’hui met aussi en lumière la reconnaissance de la forte capacité d’innovation des industriels par 75% des décideurs interrogés.
Dans ce contexte dynamique, l’étude LSA-Henkel établit clairement le rôle clé joué aujourd’hui par les innovations dans le domaine du développement durable. A la question « Comment ont évolué les grandes tendances de l’innovation au cours de cette année ? », c’est d’abord ce domaine qui est cité (54% jugent cette tendance d’innovation en hausse en 2017). Et c’est particulièrement le cas dans la distribution alimentaire (62%), où cette tendance devance nettement celles liées aux modes de distribution (50%) et aux services (39%).
Et à l’avenir, si pour 88 % des distributeurs interrogés les innovations de rupture sont toujours possibles, elles concerneront en premier lieu le développement durable. Pour 28% des professionnels interrogés, ce sera en effet sur cette dimension que les innovations interviendront, devant les services (18%) et la technologie (16%).
Les distributeurs s’accordent également pour souligner qu’une innovation doit avant tout répondre à un vrai besoin (61%). Viennent ensuite se greffer d’autres éléments qui jouent un rôle clé comme le concept, la qualité du produit ou la communication. Le prix n’étant identifié comme facteur de réussite que pour 19% des répondants.
En cohérence, les décideurs relèvent que le premier frein à l’innovation est la multiplication des fausses innovations (28%).
1/4 des répondants souligne le caractère décisif du choix des canaux de distribution dans le lancement d’une innovation. Selon les distributeurs, si le tiercé de tête à privilégier se détache clairement (point de vente spécialisé/ecommerce/hyper), l’ordre varie selon les secteurs. Ainsi, l’hyper arrive en tête dans l’alimentaire (31%), alors que le point de vente spécialisé décroche la pole position (45%) dans le secteur bricolage/décoration. Quant au Drive, il n’est en revanche perçu comme un lieu favorisant l’innovation que par 27 % des décideurs de la grande distribution.
Quant à savoir sur quels acteurs s’appuyer pour innover, écouter la voix du client/consommateur est toujours perçu comme un prérequis pour 34% des répondants, mais sans oublier désormais les start up technologiques (28%) ou digitales (20%).
L’enquête a été réalisée par l’institut d’études de LSA, sur internet du 4 au 29 septembre 2017 auprès de 204 décideurs de la Grande distribution issus des sièges de sociétés (43%), des points de vente (32%), des centrales d’achats (21%) et du e-commerce (2%). Direction générale, marketing, commerciale ou encore digitale, ces décideurs travaillent dans des secteurs d’activité variés comme l’alimentaire, la beauté ou le multimédia. 59% des participants avaient entre 40 et 55 ans.